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Boeing plonge à Wall Street, quid des obligations?

 

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L’histoire se répète pour Boeing (NYSE:BA), le géant américain de l’aviation, rattrapé une nouvelle fois par des soucis de sécurité et de qualité, entraînant une chute de 8% de l’action hier soir à la bourse de New York. Sur le secondaire, l’obligation remboursable en 2026 fait preuve de davantage de stabilité.

Alors que les images d’une porte d’un Boeing arrachée peu après le décollage font froid dans le dos, les inspections d’autres appareils de l’avionneur américain se sont multipliées depuis dimanche, entraînant des immobilisations et des annulations de dizaines de vols.

La Federal Aviation Administration a ainsi exigé des inspections immédiates de certains Boeing avant qu’ils ne puissent reprendre le vol, précisant que 171 avions dans le monde seraient concernés, avec des inspections qui prendraient quatre à huit heures.

Ce nouvel accident est survenu à Portland sur un avion de la compagnie américaine Alaska Airlines transportant 171 passagers et six membres d’équipage. L’appareil en question est un 737 MAX 9, le plus grand des moyens courriers de la famille MAX.

Un accident qui n’est pas sans rappeler les déboires d’un autre appareil de cette même famille, le MAX 8, dont les krachs avaient fortement terni la réputation du géant US il y a quelques années.

Suite à deux krachs successifs peu après le décollage n’ayant laissé aucun survivant, dans lesquels une activation intempestive du «Maneuvering Characteristics Augmentation System», du nom de ce système spécifique aux 737 Max, avait été mise en cause, ces appareils se verront interdits de vols en 2019 par la quasi-totalité des compagnies aériennes et des autorités nationales ou internationales, un cas sans précédent par son ampleur dans l’industrie.

Boeing suspendra par ailleurs en janvier 2020 sa production. Une catastrophe industrielle pour l’avionneur qui lui a coûté plusieurs milliards de dollars, avec une chute substantielle de ses ventes au profit de son rival européen Airbus (EPA:AIR), qui s’est d’ailleurs adjugé 2,5% hier soir à Paris.

Prévisions annuelles rabotées

En matière de résultats, si 2023 devait consacrer la remontée en puissance du constructeur aéronautique, le management a révisé en octobre dernier à la baisse ses prévisions annuelles de livraisons du 737 MAX, visant désormais 375 et 400 livraisons de son monocouloir, contre 400 à 450 précédemment, en raison des problèmes de qualité rencontrés par son sous-traitant Spirit AeroSystems.

Boeing, qui a maintenu en revanche ses prévisions pour le 787, a livré un total de 105 appareils sur le trimestre, contre 112 un an plus tôt. L’avionneur publiera ses résultats annuels le 31 janvier prochain.

On rappellera que celui qui fut fondé il y a plus d’un siècle par le magnat William Boeing est l’un des deux principaux constructeurs au monde, de même qu’un important client et sous-traitant de l’armée américaine, et concepteur de l’Air force One, le 747-200.

Un rendement annuel de 5,20% en dollars

Sur le marché secondaire, les obligations Boeing sont restées globalement stables ces dernières heures, profitant même d’une baisse des taux courts en dollars pour reprendre quelques points de base. 

Parmi d’autres, l’obligation remboursable en 2026 par l’avionneur, assortie d’un coupon fixe de 2,75%, peut être achetée sous le pair à un cours indicatif de 95,3% du nominal, portant son rendement annuel à 5,20%.

Accessible au plus grand nombre puisque libellée par coupures de 2.000 dollars, la valeur est notée «BBB»- chez Standard & Poor’s, en catégorie investment grade donc, mais à seulement un cran de la catégorie spéculative

Boeing plonge à Wall Street, quid des obligations?

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